Voilà le second article sur le thème du minimalisme et désencombrement. J’espère que le premier sur les choses à trier en premier vous a plu ! De mon côté, j’ai adoré l’écrire !
Si vous avez tenté de suivre mon premier article, peut-être avez-vous fait un peu de place chez vous ! Voilà une seconde liste de ce qui m’a permis de faire de la place. Encore une fois, chaque personne est différente (c’est un peu la phrase maîtresse du naturopathe d’ailleurs !) et ce qui marche pour moi ne marchera pas forcément pour vous ! Essayer, tâtonner, hésiter… C’est normal ! Ne vous brusquez pas, soyez bienveillant et appréciez le résultat. Le désencombrement devient vite une corvée si on s’y prend mal et que l’on se force !
Ce que je n’achète plus depuis que j’ai commencé à désencombrer
- Le sopalin ! Des années en arrière, j’aurais été incapable d’y penser. Voilà bientôt un an que nous n’achetons plus de sopalin et nous avons survécu ! Nous avons des torchons découpés dans de vieux draps pour les liquides renversés, des mouchoirs en tissus, du papier toilette dans les urgences du type « saignement de nez », un torchon réservé à l’égouttage d’aliments frits (à laver en machine à 60°c)…
- Les produits transformés, dans la mesure du possible : moins d’emballage, moins de déchets et moins de produits chimiques ingérés
- Les produits cosmétiques de supermarchés. J’avoue que dit comme ça, ça peut paraitre un peu bourgeois. Pourtant rien de plus simple et moins onéreux ! Pain de savon, shampoing solide, argile et huiles végétales et essentielles… Voilà ce qu’on trouve dans ma trousse de beauté ! Mon seul produit cracra que j’achète encore reste un feutre eyeliner noir. Je n’ai pour l’instant pas réussi à trouver de substitut acceptable, mais je cherche encore ! Je le trouve sans emballage chez Monoprix.
Ce que j’ai donné (à Emmaüs ou sur donnons.org)
- Fer à boucler
- Fer à lisser (ouais j’avais les deux… ne me jugez pas)
- Plusieurs lampes inutiles, encombrantes
- Une quinzaine de sac de vêtements (adulte et enfant) et c’est difficile à croire, mais j’en ai encore beaucoup !!
- Une quinzaine de paires de chaussures (j’ai jeté les vielles abimées et donné les autres)
- Des tas de jouets inutilisés par les enfants
- Table à langer (on garde seulement le matelas que l’on pose sur le lit).
- Une grande étagère inappropriée (peu pratique et à fixer au mur : les vis sortaient du mur petit à petit avec le poids)
- Un bureau
- Des plats pour four
- Tous les câbles et les pièces informatiques dont nous ne nous servions pas
- Un gros paquet d’objet déco (bibelot, pots, cache-pots, déco de Noël…)
- Des livres (beaucoup)
- Divers objets : roulette à pizza, biberons…
- Fournitures de bureau fonctionnelles (classeurs, stylo, feutres, compas…)
J’ai vendu
Objets en bon état. Si ces objets restent en vente trop longtemps sans trouver preneur et malgré une baisse de prix, je les donne sur donnons.org ou à Emmaus.
- Tous les Blu-rays / DVDs / Jeux vidéo dont je disposais d’une version numérique.
- Les figurines de dessins animés / jeux vidéo qui remplissaient mon dernier appartement (il y en avait PARTOUT).
- Des peluches (beaucoup) : J’ai gardé les plus importantes.
- Une bonne soixantaine de livres : ceux que je savais que je ne rouvrirais jamais ou que je gardais par culpabilité.
- Anciennes consoles et jeux vidéo que je gardais sans m’en servir (la nostalgie).
- Une armoire enfant trop encombrante et plus nécessaire puisque l’on a moins d’affaires.
- Ballon de yoga (grossesse).
- De la vaisselle en trop (beaucoup) : plats, casseroles, saladiers, assiettes, couteaux et divers ustensiles, mugs…
Ce que j’ai jeté
- Vieux maquillages
- Vieux papiers (quittances, notes, factures…)
- Fournitures de bureau en mauvais état
- Les objets cassés (vieux jouets, cadres photos, poêles et casseroles trop usées…)
On y voit de plus en plus clair. Le principal bénéfice de cette vague de désencombrement : la maison est plus rapide à ranger et reste en ordre plus longtemps. Les placards sont moins bourrés = moins de choses qui trainent à l’extérieur. On respire.
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Crédit photo by Helena Hertz.
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